mercredi 10 juillet 2019



Ma bibliothèque idéale



J'attaque aujourd'hui une nouvelle rubrique qui comme son nom l'indique va parler des livres d'histoire militaire (ou autre) qui m'ont marqué et que je voudrais vous faire découvrir (ou pas).
Je commence avec le livre de Georges Blond : La Grande Armée.


J'ai lu pour la première fois ce livre il y a plusieurs décennies (je sais ça fait un peu vieux chouff) et j'ai dû le relire 3 ou 4 fois depuis et à chaque fois avec le même plaisir et je me suis demandé à chaque fois comment ces hommes et ces femmes ont pût supporter toutes ces souffrances ?
Car oui le mot souffrance résume très bien ce livre, bien plus que les termes gloire et rigolade.
La souffrance pendant les marches forcées dans des conditions climatiques dantesques à la poursuite de l'ennemi sans rien manger ni rien boire, souffrance pendant les batailles ou l'on subit les feux d'artillerie et de mousqueterie, les charges de la cavalerie adverse, la vue de ses camarades tués ou blessés. Souffrance dans les hôpitaux de campagne, pour les moins chanceux qui ne sont pas mort de suite sur le champs de bataille, véritable mouroir malgré les efforts désespéré des médecins pour sauver un maximum de blessés. Souffrance dans la lutte contre les guérillas espagnoles ou portugaises, les massacres succédant aux exactions en tout genre et dans les deux camps. Souffrance pour les prisonniers de guerre entassé dans les pontons prison de Cadix ou sur l'îlot de Cabrera.
Et à chaque campagne, cela recommence. Et pourtant ils avancent derrière lui, derrière Napoléon.
Ils le maudissent souvent, comme lors de la poursuite de l'armée britannique en Espagne en 1808 dans des conditions météo cataclysmiques, mais il suffit qu'il apparaisse devant la troupe, dise quelques mots et la magie opère, ils repartent de plus belles oubliant la faim et la douleur.
Même si il n'est pas le sujet principal du livre, on ne peut pas parler de la Grande Armée sans lui. C'est lui qui l'a construite, instruite et commandé, avec l'aide très précieuse du chef d'état-major Berthier. Les maréchaux sont aussi décrit lors de leurs actions plus ou moins glorieuses.
Ce livre est un véritable bijou, il est très bien écrit, se lit comme un roman, tout y est juste (ou presque). Certes il a été écrit en 1979 avec les connaissances de l'époque, donc parfois on trouve quelques erreurs mais pas de quoi hurler au scandale.
Si vous voulez l'histoire de la Grande Armée et surtout la vie des grognards, commencez par ce livre,
vous ne serez pas déçu et normalement vous allez être un mordu de cette période.

dimanche 24 février 2019

Ouvre-Boîte

Comme son nom l'indique, cette rubrique a pour fonction de découvrir des figurines ou maquettes qui ont eu la bonne idée d'atterrir dans ma boîte aux lettres. Comme vous avez remarqué je n' emploi pas le terme "open box", tout simplement parce que ici on cause la France, et la mode de mettre des expressions anglo-saxonne à tout bout de champs m'énerve vraiment.
Bref aujourd'hui je vous présente des figurines de chez Black Hussar, une marque allemande qui distribue les anciennes figurines Westphalian miniatures (qui existe toujours mais qui dorénavant  fait de l'heroic fantasy).
j'ai le projet de peindre la 2ème division de la Vieille Garde durant la bataille de Leipzig en 1813. Cette division comprend en plus des fusiliers chasseurs et grenadiers de la Garde des unités étrangères telles que les Vélites de Florence et de Turin, les fusiliers de la garde westphalienne, les grenadiers d'élite polonais (ma future commande) et enfin les Leib grenadiers de la Garde Royale Saxonne, une vraie farandole de couleurs.
Un petit rappel historique de cette unité :
Crée en 1729, à Dresde, capitale du royaume de Saxe, les grenadiers de la Garde firent la guerre de sept ans en tant qu'unité combattante, auprès des prussiens. La campagne de 1806-1807 fut reposante, puisqu'ils restèrent à Dresde. La campagne de 1809, en Autriche, les virent combattre au sein du corps de Bernadotte à la bataille de Wagram.
Ils ne participèrent pas à la campagne de Russie, mais firent celle de 1813.
Le premier bataillon fut attaché à la Vieille Garde, tandis que le second fit campagne au sein du VII corps du général Reynier durant les opérations sur Berlin en août 1813 et combattirent aux batailles de Gross Beeren et de Dennewitz, ou ils subirent de lourdes pertes.
Les deux bataillons fusionnèrent en un seul et entra dans la division Curial. Cette division porta assistance au VIIIème Corps d'Armée polonais du Général Poniatowski dans le secteur de Wachau -Dolitz, au sud de Leipzig. Après la bataille, Napoléon les libéra de leur serment et ils retournèrent auprès du roi de Saxe. Les Gardes poursuivirent la guerre, cette fois-ci sous les ordres du Prince de Saxe-Weimar en Hollande en 1814.
Passons aux figurines, d' abord quelques photos.




 Ces figurines sont grandes, elles sont compatibles avec du Calpe miniature ou du Front Rank mais pas avec du Perry ou du Wargames foundry. La gravure est de très bonne qualité et les détails nombreux. Je pense que ce sera des figurines agréables à peindre, juste le rouge de l'uniforme qui me fait un peu peur, mais pour cela je ferais une sous-couche en gris plutôt qu'en noir.
Je vais essayer de vous proposer un pas à pas concernant la peinture de ces figurines, mais ayant encore quelques travaux en cours, je ne sais pas quand je pourrais débuter.
Je vous proposerais un nouvel "ouvre boîte" prochainement qui concernera le bataillon d'élite polonais de chez Murawski (quand je les aurais reçu...presque 3 semaines que j'attends...).
Un dernier mot, le contact avec Black Hussar est très facile, l'interlocuteur est très sympa, et le délai de livraison est satisfaisant.


Grenadiers d'élites Polonais 1813 

Bonjour à tous, voilà le deuxième volet de cette rubrique consacrée cette fois-ci aux grenadiers d'élites polonais de chez Murawski.
Commençons par un petit rappel historique concernant cette unité.
Après la désastreuse campagne de Russie, le Grand-Duché de Varsovie fut vite envahi par les russes, les moyens pour reconstituer un semblant d'armée furent très limités. Malgré tout, un corps fut constitué sous les ordres du Prince général Poniatowski qui fut opérationnel qu'a partir d'août 1813.
Corps est un bien grand mot car les effectifs totaux non guère dépassé les 8000 hommes. Pour rajouter une difficulté supplémentaire, Napoléon, décida par décret, le 14 septembre 1813, la création d'un bataillon d'élite polonais qui rejoindrai la deuxième division de la Vieille Garde, pour un effectif de 800 hommes réparti en 4 compagnies. Malgré l'honneur d'intégrer la Vieille Garde, Poniatowski n'était pas très enchanté de se séparer de 800 vétérans qui manqueraient sûrement lors des prochains combats. Malgré tout l'opération se fit et les polonais firent brigade avec les grenadiers royaux saxons. Durant la bataille de Leipzig, le bataillon fut détaché auprès du VIIIème Corps polonais.
Après la défaite, les survivants furent intégrer aux 3ème régiment d'éclaireur de la garde, rattaché au lanciers polonais de la Garde (ce qui en dit long sur l'état de la Grande Armée à ce moment là, transformer du biffin en cavalier ou sur la polyvalence du soldat polonais....).
Voilà pour la petite histoire, maintenant passons aux figurines. Voici quelques photos.

Les figurines sont très jolies avec une fine gravure, pour la correspondance avec d'autres marques j'ai fait un comparatif en photo. D'abord avec les grenadiers saxons de chez Black Hussars.




C'est clair qu'il y a comme une différence de gabarit, il y en a un qui a  mangé plus de soupe étant petit...
Maintenant avec du Perry.



et du Wargames Foundry




Ca colle bien avec du Perry, un peu moins avec du WF mais c'est pas choquant.
Les échanges avec le vendeur étaient très cordiaux, l'envoi un peu long, par contre le prix est plutôt élevé, à cela vous rajoutez le prix de la livre sterling et les fdp qui ne sont jamais donnés au Royaume Uni, cela fait au final une facture qui plombe pas mal vos finances !!

J'espère, comme avec les saxons, vous faire partager la peinture de ces figurines au fur et à mesure, qui je pense ne présente pas trop de difficultés.




dimanche 13 janvier 2019

Le coin lecture

               
   Bonjour à tous, enfin me revoilà. Pas beaucoup de temps en ce moments à me consacrer au blog et moins encore de temps pour peindre ou bouquiner, bref c'est un peu le service minimum en ce moment. Je profite d'un court répit pour vous parler des deux derniers numéros de Vae Victis.
Tout d'abord le numéro 144 qui nous propose un dossier sur la campagne des 5 jours durant la campagne d'Autriche de 1809. Moins connu que les évènements d'Apren et Essling ou de Wagram, cette courte campagne voit Napoléon revenu à la tête de la Grande Armée, après l'intérim peu concluant de Berthier (et c'est peu dire), repousser les armées de l'archiduc Charles vers Vienne et ainsi libérer la Bavière. En appui du dossier, un article pour pouvoir jouer les différentes batailles avec nos figurines préférés.
Un scénario pour Bolt Action qui s'inspire du mythique film "de l'or pour les braves". Film qui a bercé mon adolescence. Quel plaisir cela doit être d'incarner Kelly ou le grandiose Oddball qui chasse, en plus des tigres allemands, les ondes négatives de ses congénères.
Un compte rendu d'une bataille hypothétique en français et soviétiques en 1985 avec la règle Team Yankee.
Cruel Seas, règle d'escarmouche navale de chez Warlord Games, fait l'objet d'une présentation complète. C'est une règle qui a l'air vraiment sympa.
Le coin lecture est bien rempli mais que des ouvrages en anglais....pourtant les thèmes sont intérresants: l'armée romaine tardive, les chevaliers teutoniques, une bio sur Trajan (en français !!), une déferlante de livres de chez Helion ainsi qu'une autre de chez Osprey.
Et enfin la farandole de figurines en fin de magasine qui me fait toujours baver...



Re-bonjour, j'enchaine de suite avec le numéro 145.
La Grande Guerre est à l'honneur de ce numéro. C'est pas ma période préférée mais bon il faut bien satisfaire tout le monde. Un dossier un peu généraliste mais plutôt intéressant, qui est là surtout pour appuyer le jeu en encart.
Côté figurines, présentation d'une règle d'escarmouches en Nouvelle-France, au tout début de la conquête par les européens, donc combats entre les tribus indiennes et premiers colons. Flint and Feather apporte en plus le côté magie joué par les chammans.
Trois scénarios nous permettent de rejouer la terrible bataille de Shiloh en 1862, ou l'Union est passée tout près d'un désastre.
Un nouveau scénario pour Team Yankee, ou encore une fois les soviétiques s'en prennent à nos piou-piou, gare à la "tenaille en forêt de Machecoulle" messieurs les Ivan.
Pour faire suite à la présentation de la règle "Crul Seas" dans le numéros précédent, un article sur les opérations navales en Mer Noire entre 1942 et 1944, mettant aux prises vedettes italiennes, mouilleurs de mines soviètiques et autres barcasses légères. Sujet aussi peu connu qu'intéressant, que j'avais découvert dans l'un des livres de Jean Lopez sur le Front de l'est (je sais plus si c'est celui sur Stalingrad ou un autre).
La bataille de Poitiers en 1356 sert de thème à une présenation de la règle Banner War. De bien jolies figurines en 28mm ainsi que des décors simples et de bon goût.
Enfin des livres en français à acheter en masse !! Une biographie de Yann le Bohec sur Lucculus.
En plus d'être un très bon restaurant sur Strasbourg, Lucculus fut un brillant général romain se situant entre Sylla et le triumvirat, si ma mémoire est bonne. Un ouvrage qui me fait vraiment envie, d'une part le sujet est pour moi quasi inconnu et surtout parce qu'il est écrit par un auteur que j adore (à lire absolument les guerres puniques).
Un autre livre, sur le service de renseignement romain de Ros Mary Sheldon (Texto) qui lui aussi me fait de l'oeil.
La nouvelle sortie de chez Economica : Iéna et Auerstedt de Frédéric Naulet.
Un mot sur cette maison d'édition : j'en ai pas mal dans mes rayons, mais F... Dieu faites quelque chose concernant l'iconographie, les cartes, la présentation !! le rendu final est souvent aussi sexy que le botin de la ville de Vladivostock en 1954 !! Mais cela reste quand même passionnant dans l'ensemble. Je ferme la parenthèse.
Pêle-mele des ouvrages sur Louis XIV et la Fronde, les guerres Jacobites en Grande Bretagne, les éternels Osprey, une grosse vague de la série Duels.
Et pour finir la mythique farandole de figurines.
Voilà c'était un peu synthétique et je m'en excuse. J'essayerai de vous faire découvrir les livres qui sont selon moi les incontournables à mettre dans une bibliothèque d'histoire militaire, bien sûr cela sera très arbitraire et j'éspère que vous pourrez en discuter avec moi et me faire découvrir vos livres préférés.

                   


Aujourd'hui un petit tour dans l'antiquité avec le jour des barbares qui décrit la bataille d'Andrinople en 378 après JC, bataille qui se situe en Thrace (actuellement dans la partie européenne de la Turquie). Cette bataille opposa les goths et les romains de l'empire d'Orient sous le règne de Valens.
Le livre commence deux ans avant la bataille, avec l'arrivée massive de tribus goths à la frontière du Danube fuyant la poussée d'autres barbares, les huns en l'occurence. La gestion calamiteuse du problème par l'administration romaine poussera ces tribu à piller la campagne thrace jusqu'à l'arrivée de l'armée impériale sous les ordres de l'empereur Valens, obligé d'abandonner sa campagne militaire contre les perses. La rencontre eu lieu non loin d'Andrinople, les romains furent exterminés et Valens y laissa sa peau. Incapables de prendre les cités romaines, dont Constantinople, les Goths ne purent finir le travail et continuèrent à piller les campagnes. Théodose, le nouvel empereur, dût reconstruire à la hâte une nouvelle armée et fut forcé d'y inclure des mercenaires goths pour combattre leurs congénères. Finalement l'intégration pacifique de barbares dans la société romaine, dans l'administration ou l'armée, en plus de soulever une vague d'indignation chez les romains porta le germe de la catastrophe finale avec le sac de Rome par Alaric en 410, un général romain d'origine goth.
Ce livre est vraiment intéressant, pas vraiment sur la partie militaire qui est assez "légère", mais sur la partie sociale, la politique romaine d'intégration de barbares dans tous les rouages de la société romaine ainsi que les questions religieuses, l'affrontement entre l'église arienne et orthodoxe ainsi que les cultes anciens.
Je recommande vivement ce livre qui se lit vraiment très bien et qui n'est jamais ennuyeux.

Voici le premier livre que j'ai lu cette année, un cadeau de Noel.
Merci à ma fille de m'avoir fait passer quelques nuits blanches, ce qui m' a permis de finir le livre en très peu de temps.
Marmont, voilà un personnage dont on ne sait peu de choses, mise à part sa trahison en 1814, pour le reste je savais que c'était un ami de longue date de Napoléon, qu'il était artilleur et ces campagnes de 1809, 1812, 1813 et 1814. Mais il restait pas mal de zones d'ombres et ce livre les dévoile parfaitement, surtout sur la période de la Restauration ou malgrè son ralliement aux Bourbon, il restera un traitre aussi bien pour les royalistes que pour les bonapartistes et les évènements de la révolution de 1830 ne vont pas l'aider non plus. Le sous-titre du livre "le maudit" devient plus clair, un vrai poissard. Malchanceux en affaires et en amour, il va errer en exil à travers l'Europe de 1830 à 1852 (date de son décès).
Le livre est plaisant à lire, c'est toujours mieux quand le sujet nous est presque inconnu, je regrette que le côté militaire soit un peu en retrait, les moments ou Marmont commande au front sont un peu court et pas assez fouillés, mais l'essentiel est là.
Je recommande ce livre si vous voulez découvrir un personnage de l'épopée moins connu que Ney ou Murat. J'attends avec impatience des biographies de cette qualité sur Victor ou Macdonald.




Bonjour à tous, une petite revue de presse avec le dernier Vae-Victis.
C'est une longue histoire entre cette revue et moi puisque j'ai acheté le premier numéro lors de mes classes durant mon service militaire, c'était en....1995....la vache le coup de vieux...
J'ai été un lecteur assidu puis j'ai lâché prise, les numéros devenant moins intéressant, la sortie des hors-série sur les figurines m'ont redonné l'envie de racheter cette revue. J'avoue acheter cette revue plus par dépit étant donné que c'est la seule du genre sur le marché français. Je comprends toujours pas pourquoi il n'y a pas de revue spécialisée sur les wargames avec figurines en France, quand on voit l'offre dans les pays anglo-saxon ça laisse rêveur...
Bref revenons au numéro143 de notre revue, quoi donc d'intéressant ?
D'abord les habituels articles concernant les jeux de plateau, toujours intéressant à lire, dont un scénario d'ASL sur la bataille d'Hatten en 1945 (pas loin de chez moi).
Ensuite deux articles historiques, l'un sur Pyrrhus (ma future armée en 15mm pour ADG) et l'autre sur l'offensive sur Kiev en 1943. Articles un peu court à mon goût, surtout le premier.
Un compte rendu de partie pour Saga durant les croisades (très belles figurines).
La critique de Black powder deuxième édition, qui visiblement à conquis l'auteur.
Des scénarios de batailles pour ADG avec Pyrrhus et sa campagne en Italie en toile de fond.
Et enfin les rubriques habituelles : la bibliothèque stratégique (toujours un plaisir à lire), les nouveautés règles de jeux avec figurines et la farandole de figurines en fin (toujours superbement peintes mais deux pages c'est trop peu).
En refermant le magazine après sa lecture, je reste sur ma faim. Comme je le disais au début, la partie figurine est vraiment trop limitée, pas de tuto peinture ou décor, etc. Il se pourrait que ressorte des hors série sur les figurines, j'espère que ça sera pour cette année, cela comblerait un grand vide.




vendredi 4 janvier 2019

Galerie

Napoléon et son état-major

Char Churchill de chez Warlords

équipe mortier léger para UK
Grenadiers Garde Impériale (Wargames Foundry 28mm)
Grenadier Garde Impériale (Wargames Foundry 28MM)
Officier général cavalerie légère (Old Glory 28mm)
Bessières et son escorte (Wargames Foundry 28mm)



Maréchal Suchet et son ADC et chef de l'artillerie du corps (WF 28mm). Les visages seront éclaircie par la suite.


Régiment de cuirassiers prussiens 1813 (Wargames Foundry 28mm)

Bessières et son escorte (Wargames Foundry 28mm)
Régiment de cuirasssiers prussiens 1813 (Wargames Foundry 28mm)



jeudi 3 janvier 2019

Bonne année 2019

Bonjour à tous et bonne année et surtout bonne santé à vous et à vos proches.
Je m'appelle Jérôme, je vis en Alsace avec ma petite famille.
Je peins des figurines depuis au moins 15 ans (déjà !!) mais de manière chaotique, dût
essentiellement à mon ancien travail qui m'éloignait souvent de mes pinceaux et aussi
d'une vie de patachon.
Bref, depuis que je suis rangé, l'envie de peindre est revenue plus forte que jamais.
Mais comme tout bon figuriniste, j'ai accumulé les stocks pour les futurs projets qui ne verront,
finalement jamais le jour, ni le temps et surtout ni plus trop les moyens. Donc j'ai décidé de vider mes stocks de figurines 1er Empire en 28MM avec lesquels je ne jouerais jamais. Parce que oui je suis un fan du petit caporal, mais j'ai aussi envie d'explorer d'autres périodes (ancien régime, pirates, western,ww2,...).
Pour résumer je loue mes services de peintre, j'ai en stock du russes 1812 de chez Wargames foundry (infanterie, cuirassiers, cosaques du Don et artillerie). Mes tarifs :
Infanterie /Artilleur : 3 euros
Cavalerie : 5 euros
Artillerie : 5 euros
Caisson, chariot : 5 euros hors chevaux et conducteurs.

Pour le soclage à définir selon la règle joué.
L'envoi sera soigné.
Si vous vivez dans le nord du Bas-Rhin et que vous voulez venir jetez un coup d' oeil aux figurines,
faites moi signe, bref contactez-moi pour toutes informations.

Je vous propose quelques photos, qui reflète pas trop mal mon niveau de peinture, pour cela allez jeter un coup d' oeil à la galerie. N'hésitez pas à laisser un commentaire.